Cette pièce, où flamenco et danse contemporaine se lient et se délient, libère une sensualité très forte des corps entre lenteur et fureur nous amenant à redessiner la frontière entre la musique et la danse autour d’un double thème : le bois et le corps. Ainsi parle le corps instrument, joue la musique danse, dans un univers parallèle entre homme et nature…
La rencontre quasi volubile entre les musiciens Béatrice Morisco-Reuther à la guitare, Stéphane Grosjean aux percussions, et la danseuse Karine Gonzalez, convoque plusieurs univers musicaux alliant des compositions et des retranscriptions de pièces classiques, avec un travail rigoureux de la danseuse qui apporte finesse, allégresse, et la grâce que l’on retrouve chez les danseuses Andalouses.